Retranscription de mes impressions « en direct » (comme les fois précédentes, j’écris en écoutant pour la premiere fois les morceaux).
edit : mon player (clementine) a merdé l’ordre des titres, donc je remet ça «as it », tel que je l’ai écouté,
pour ne pas fausser la chronique. Je ré-écouterai dans l’ordre. Je dois être un vieux con, mais je DETESTE et conchie profondément le « shuffle ». un album ça s’écoute dans l’ordre.
Donc je suis un peu deg’ de ce « bug », mais bon, let’s go.
fin d’edit.
Je ne regarde pas les titres, ni les artistes invités, histoire de ne pas avoir d’a priori.
écoute au casque (sennheiser HD202), because bébé couché.
coté personnel, je ne suis pas franchement dans une vibes joyeuse donc ça a peut etre un peu d’influence sur mon écoute.
maintenant que la parenthèse est fermée, go.
1ere tune, début « africanisant », je ne sais pas pourquoi, les cordes…
la voix débute et je suis surpris par la « force » du morceau.
Sans être violent, le vocal, avec le back féminin apporte vraiment une puissance intéressante.
le skank dub est très léger, on est loin d’un « dub ina year 3000 », plutôt dans la « world music ». N’y voyez rien de péjoratif, j’y vois juste le mélange de plusieurs cultures.
Track 10 (sous les étoiles, il semble qu’il y ai une couille sur les numéro des tracks, j’ai 2 track 10)
Didjeridoo pour attaquer, bon, j’avoue, j’aime le coté tribal que ça peut apporter.
Tempo plutôt lent et dark, un peu mélancolique, on a envie que ça pete…
ça monte, ça monte … et ça part. Le skank reste mélancolique et semble un peu décalé avec le didj qui rentre vraiment en transe. Dommage que le cut parte vraiment quelques secondes plus tard, après l’arret du didj. Frustration ! Le reste du morceau est classique, manquant peut être du grain de folie que semblait amener le didjeridoo… faites péter les réverb ! Niquez le sample a grand coup de delay !!!
track 10 (trouble of the world)
encore une autre ambience le vocal est vraiment original … petit skank
les Mahom partent v… WAHHHHH le cut vient de partir, les voix continuent, j’aime la vibes Véner de l’instru, avec les voix aériennes derrière ! La on s’éloigne de ce qui me faisait penser a une vibes Pandadub …le contraste est très écoutable, au casque, on a l’impression que les voix se battent avec l’instru pour prendre le devant, ça fait bouger la tete.
Je pense vraiment ré écouter ce morceau a la fin de cette « review ».
track 12
ça a l’air d’accélérer. Vibes digitale, pour l’instant du classique… samples, skank qui reste dans la tête. Une flûte / un instrument a vent ? Ça change du mélodica…
ça prépare quelque chose la … Et ouai j’en étais sur ! C’est véner…
le genre de morceau idéal pour tout effort physique… le truc qui te met la rage !
A la fois la batterie (la caisse claire sonne un peu cheap non ? Je l’aurai vue encore plus présente, je kiffe le coté « militaire » ! ) et le skank qui tourne dans la tête…
ça finit un peu sec, avec un coup de reviens z’y !
track 13
oula … ça débute strange.
Bon, c’est véner, mais pas trop ma vibes du moment. Trop « techno » pour moi. Toutefois, on sent que c’est efficace, taillé pour faire danser. Genre autour de 1’50, on s’éloigne un peu trop du dub pour moi. Un peu répétitif a mon goût et surtout bien trop technoide. Encore une fin coupée a la hache, ça va gueuler en live !
Track 14
du lourd, dès les premières secondes.
C’est taillé pour le sound system ! Enfin des effets dans tous les sens … soyez moins gentils les Mahoms ! Plus barrés ! Envoyez le bois quoi ! C’est un bon exemple de ce que devrait être un morceau dub d’album ça, on sent la triture, j’imagine les potards qui se tournent dans tous les sens…
a partir de 3 minutes, le passage qui fait bloquer et bouger la tête sévère.
Track 15
oula, ça sent le track de sauvage la… finis de rire …
ça monte, ça monte … ça « empile » les instruments… et non ! Raté !
Le rythme n’est pas « trop » rapide, mais on sent que ça pourrait bien partir en live, ça donne l’impression que les instruments ont la rage et attendent qu’un petit break pour tout péter.
Ça s’écoute bien, avec un côté très légerement « dubstep » pas dégueu, bien loin du vomi de robot habituel. Spéciale mention sur le travail du sample a 2 minutes. Ça sonne !
Petit break, est ce que je vais avoir raison ? Ok ok ok … ça s’est taillé pour le live aussi.
Ça va faire bouger les youths ! Petit skank 8 bits pas pour me déplaire.la basse « woobelise » a peine, ça méritera une seconde écoute.
Le 8 bits, faites le péter dans tous les sens, la il fait son gentil, mais je suis sur qu’il a envie de se faire delayer / triturer / reverber …
ça m’inquiete, y a encore un break, et ça annonce pas du gentillet …
different style ! Ahaha je me suis fait surprendre, je m’attendais pas a ça. Ok, vous m’avez eu !
Je l’ai déjà dit, mais ça, en live, ça va user de la dancing shoes de youth !
Track 16
et donc derniere track de l’album. Putain de Clementine !
Ça commence electro, ça monte , ça monte …
oula, trop breaké pour moi. Non que ça soit désagréable, ça sonne pas du tout electro cheap dégueu, mais trop de break, ce n’est pas ma vibes du moment (pourtant ça m’arrive d’écouter du venitian snare, c’est juste « pas le moment »)
gros travail derrière celle la, ça se sent.
Pour vous l’album s’arrete la, moi j’enchaine avec la 2eme tune …
Fuck it !
Track 2.
début « classique », ça sonne un peu « catastrophe », avec l’alarme en fond, un skank pas forcément joyeux… ça y est, l’intro est finie. Efficace. Bruit chelou industriel qui attire l’attention. Ça fait penser a un décors un peu indus triste, genre usine sous un ciel de plomb… mais voila un coté un peu plus léger… qui dure quelques secondes avant de se faire bouffer par l’alarme.
Ça monte en puissance avant de nous lacher en plein trip, GWAAAAh, je veux savoir ce qu’il se passe après ?
Track 3
ok, pas le temps de repenser a la fin du morceau précédent, ça tape direct dans la tête.
Deux skanks semblent se répondre, avec en arriere plan un stepper remuant, c’est agréable…
Track 4
classic stepper style. Autour de 1’15, le synthé apporte de la légèreté, c’est agréable a l’oreille.
Il me rappelle quelque chose, mais impossible de remettre l’oreille dessus.
Le morceau se complexifie, oblige a tendre l’oreille et … SANS DECONNER VOUS L’AVEZ ARRETE COMME ÇA ??? Ohhhhhh faut au moins 2 minutes de plus les gars la !
Track 5
début assez léger avec un mélodica bien agréable.
Petit orgue a l’ « ancienne », ligne de basse toute en descente… c’est pas la plus péchue de l’album, mais bien une tune agréable a l’oreille.
Ça se confirme a 2’30, un morceau vraiment agréable.
Track 6
mhhh une pause ? Ça commence bizarre, on entend un « rythme » qui accélère…
ok, vérification, c’est pas vraiment un morceau…
Track 7
mmmhhh j’aime l’intro… l’orgue ! Ça, ça pête l’orgue !
Outch, quand ça part, juste après le sample (on s’y attend, hein…) bin on a beau s’y attendre, ça tape direct dans le cerveau ! Dark vibes, sans tomber non plus dans les clichés du genre avec une patte stepper… ça sent l’asile quand même les gars, faites gaffe …
j’aime bien, et après vérif, le titre est ultra bien trouvé et caractérise bien l’ambience, « grotesque » (dans le sens bizarre, effroi, pas dans le sens ridicule)
Track 8
premières notes electro / digit. Why not, meme si j’aime moins la nappe… outch le kick a pas l’air bien content. Ça monte, ça monte, ça monte… et ça part plutôt très bien !
Ça cavale, ça cavale coté drum, coté synthés ça tape, ça tape, la basse aussi.
J’aime !
Pause melodica. Enfin pause, ça cavale toujours en arrière plan !
Et retour de la mélodie. Je l’ai dit, redis déjà (sans meme me relire), mais ça, c’est fait pour être joué en live, pas sur une sono pourrie a 60db chez papa maman ! FORT ET PUISSANT !
Gahhh et encore une fin ultra brusque …
Track 9
et donc dernière pour moi.
Ça sonne bien pour débuter, « classique » quoi.
Bon vocal, très bon même ! Dis ya Mahomdub !
Moins wild que certains morceaux de l’album, ça reste du très bon …
vocal vraiment sympa. L’instru en elle même est relativement simple, mais s’accorde bien avec le vocal, le soulignant sans le bouffer.
Ilodica part. Bien travaillé, avec un leger delay derrière… et ENFIN vous nous laissez le temps de redescendre avant de conclure le morceau, et nous lachez pas en plein trip !